La Maison des Enfants
Apprendre en Solidarité à Buzet, BE
03.26.2020 QUESTION DU JOUR N°7
Categories: Actualités

« J’apprendrai à me taire, je remplirai de blancs la conversation, je traverserai des plages de silence et je noierai les mots dans une tasse de café. Fermé le dictionnaire, il faut ouvrir les portes et puisque vivre est une langue étrangère, j’apprendrais à me taire définitivement. » B. Friot

Penchons-nous aujourd’hui sur une histoire pressée de Bernard Friot.

Plus jeunes:
Résumer l’histoire en 3 cases (une petite phrase par case ou mots clés) et illustrer.

Moyens:
Écrire l’histoire sous la forme d’une BD de 6 à 8 vignettes.

Aînés :
Modifier les personnes (animaux) et le titre de l’histoire. Récrire l’histoire (en gardant les relations entre personnages).

Exemples de titre : (la puce, la souris, … )

Histoire :

« MOUSTIQUE

J’attends qu’ils soient couchés. Bon, voilà. L’homme éteint la lumière. Parfait, je peux y aller. Je mets mon petit moteur en marche : bzzzrrr, bzzzrrr…
L’HOMME : Zut ! un moustique !
Il rallume. Mais j’ai prévu la manœuvre. Je coupe aussitôt le moteur et je me planque. Tu peux chercher, gros bouffi, tu n’es pas prêt de me trouver. Ça y est, il éteint à nouveau.
Je peux recommencer mon tintamarre. Et bzzzrrr… et bzzzrrr… Agite-toi, mon bonhomme, retourne-toi dans ton lit, mets-toi l’oreiller sur la tête, je suis toujours là et je m’en donne à cœur joie. Je monte, je descends, je te frôle les oreilles, je te chatouille le nez…
LA FEMME (elle crie) : Albert, fais quelque chose ! Ça me rend folle !
Allez, Albert, lève-toi et allume encore un coup. Oh là, là, là, que c’est difficile de sortir de son lit ! Mais oui, prends ta pantoufle, mon vieux, qu’on s’amuse un peu ! Tu me vois ?
Alors, qu’est-ce que tu attends ? Frappe ! Pas de chance, c’est trop haut pour toi. Et bien, grimpe sur le lit.
LA FEMME : Aïe, tu me marches sur les pieds.
Arrête, arrête, tu me fais trop rire ! Mais non, bzzzrrr… bzzzrrr…, tu ne regardes pas
du bon coté ! Coucou, je suis là ! Paf ! Raté, gros père ! Et paf ! Encore raté !
Oh non, tu joues plus ! T’es pas marrant, toi alors ! Tu te recouches ? Attends un peu. Je repars à l’attaque et cette fois-ci je pique ! Là, dans le cou ! Tu verras, demain, quand tu mettras ta chemise ! Et maintenant, je pompe. Pouah ! Qu’est-ce que tu as bu ? T’as au moins 3 grammes d’alcool dans le sang, vieux poivrot !
Je vais me venger sur ta bobonne. Mmmm, que c’est bon, ça, c’est tout sucré. Dis donc,
elle doit aimer les pâtisseries, ta femme.
Allez, je suis sympa, je vous laisse tranquilles maintenant. Et merci pour le repas ! J’ai du mal à décoller, tellement j’ai rempli le réservoir, ah, ah, ah… !
Horreur ! Qu’est-ce que c’est que ça ! Dans quoi je me suis fourré ? Impossible de me
dépêtrer. Maman ! Une toile d’araignée ! Vite, il faut que je me sorte de là… Trop tard !
Au secours, la voilà ! Elle avance… Non ! Non ! Nooonnn… »

B. Friot

Vous pouvez publier vos histoires en commentaire et envoyer une photo de vos résumés/BD à l’adresse suivante: buzetmde@gmail.com

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4 Comments to “03.26.2020 QUESTION DU JOUR N°7”

  1. Lorenzo dit :

    Coucou !c est Lorenzo j ai fait toutes les « question du jour« 
    Bonne journée

  2. Lou Laffineur dit :

    SOURIS
    J’attends qu’ils soient couchés. Bon, voilà. L’homme éteint la lumière. Parfait, je peux y aller. Je taille bien mes dents et j’y vais : coui coui …
    L’HOMME : Zut !Une souris !
    Il rallume. Mais j’ai prévu tout . Je m’arrête et je me cache en-dessous du lit . Tu peux encore me chercher, gros bouffi, tu n’es pas prêt de me trouver. Ça y est, il éteint à nouveau.
    Je peux recommencer mon tintamarre. Et coui… et coui… Agite-toi, mon bonhomme, retourne-toi dans ton lit, mets-toi l’oreiller sur la tête, je suis toujours là et je m’en donne à cœur joie. Je monte dans le lit, je me faufile en-dessous de ta couette et je te mords le bras et je te remords…
    LA FEMME (elle crie) : Albert, fais quelque chose ! Ça me rend folle !
    Allez, Albert, lève-toi et allume encore un coup. Oh là, là, là, que c’est difficile de sortir de son lit ! Mais oui, prends ta pantoufle, mon vieux, qu’on s’amuse un peu ! Tu me vois ?
    Alors, qu’est-ce que tu attends ? Frappe ! Pas de chance, je cours trop vite pour toi. Et bien, regarde en-dessous du lit.
    LA FEMME : Aïe, tu me tape les pieds.
    Arrête, arrête, tu me fais trop rire ! Mais non, coui… coui…, tu ne regardes pas
    du bon coté ! Coucou, je suis là ! Paf ! Raté, gros pèpère ! Et paf ! Encore raté !
    Oh non, tu joues plus ! T’es pas marrant, toi alors ! Tu te recouches ? Attends un peu. Je repars à l’attaque et cette fois-ci je te mords encore! Là, dans le pied ! Tu verras, demain, quand tu mettras tes chaussettes ! Et maintenant, je vais me venger sur ta bobonne. Mmmm, que c’est bon, ça, c’est tout frais. Dis donc, elle doit aimer la viande, ta femme.
    Allez, je suis sympa, je vous laisse tranquilles maintenant. Et merci pour le repas ! J’ai du mal à redémarrer, tellement mon ventre est rempli, ah, ah, ah… !
    Horreur ! Qu’est-ce que c’est que ça ! Dans quoi je me suis fourré ? Impossible de me
    dépêtrer. Maman ! Un piège ! Vite, il faut que je me sorte de là… Trop tard !
    Au secours, les voilà ! Les méchants arrivent ! Non ! Non ! Nooonnn… »

  3. Emie dit :

    1) Alerte au moustique : mur – je tape le moustique
    2) Coussin sur ma tête : bzzzzzzzz
    3) Aïe mes pieds : ouille
    4) Moustique me pique : Aïe aïe aïe aïe – Pique pique
    5) Beurk il a bu de l’alcool : eu je suis ‘choule’
    6) Le moustique se fait manger par une araignée : miam – non!

  4. halbardier Quentin dit :

    le cochon

    J’attends qu’ils soient couchés. Bon, voilà. L’homme éteint la lumière. Parfait, je peux y aller. Je mets mon petit moteur en marche : groin, groin…
    L’HOMME : Zut ! un cochon !
    Il rallume. Mais j’ai prévu la manœuvre. Je coupe aussitôt le moteur et je me planque. Tu peux chercher, gros bouffi, tu n’es prêt de me trouver. Ça y est, il éteint à nouveau.
    Je peux recommencer mon tintamarre. Et groin… et groin… Agite-toi, mon bonhomme, retourne-toi dans ton lit, mets-toi l’oreiller sur la tête, je suis toujours là et je m’en donne à cœur joie. Je monte, je descends, je te frôle les oreilles, je te chatouille le nez…
    LA FEMME (elle crie) : Albert, fais quelque chose ! Ça me rend folle !
    Allez, Albert, lève-toi et allume encore un coup. Oh là, là, là, que c’est difficile de sortir de son lit ! Mais oui, prends ta pantoufle, mon vieux, qu’on s’amuse un peu ! Tu me vois ?
    Alors, qu’est-ce que tu attends ? Frappe ! Pas de chance, c’est trop haut pour toi. Et bien, grimpe sur le lit.
    LA FEMME : Aïe, tu me marches sur les pieds.
    Arrête, arrête, tu me fais trop rire ! Mais non, groin… groin…, tu ne regardes pas
    du bon coté ! Coucou, je suis là ! Paf ! Raté, gros père ! Et paf ! Encore raté !
    Oh non, tu joues plus ! T’es pas marrant, toi alors ! Tu te recouches ? Attends un peu. Je repars à l’attaque et cette fois-ci je pique ! Là, dans le cou ! Tu verras, demain, quand tu mettras ta chemise ! Et maintenant, je pompe. Pouah ! Qu’est-ce que tu as bu ? T’as au moins 3 grammes d’alcool dans le sang, vieux poivrot !
    Je vais me venger sur ta bobonne. Mmmm, que c’est bon, ça, c’est tout sucré. Dis donc,
    elle doit aimer les pâtisseries, ta femme.
    Allez, je suis sympa, je vous laisse tranquilles maintenant. Et merci pour le repas ! J’ai du mal à décoller, tellement j’ai rempli le réservoir, ah, ah, ah… !
    Horreur ! Qu’est-ce que c’est que ça ! Dans quoi je me suis fourré ? Impossible de me
    dépêtrer. Maman ! Une toile d’hippopotame ! Vite, il faut que je me sorte de là… Trop tard !
    Au secours, le voilà ! il avance… Non ! Non ! Nooonnn… »
    B. Friot

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