Quel plaisir ce matin quand Charlotte nous amène un article intitulé «  A Buzet, chaque élève propose un CHEF-D’OEUVRE! »publié dans le Ligueur du 9 septembre.

Et puis, ….

Et puis on lit un encart, non signé par ailleurs, qui nous dit :  »

Une école pour privilégiés?

Que fait l’enfant qui a des parents qui ne peuvent pas le soutenir dans son travail faute de temps ou de moyens? Nous avons posé la question à l’école de Buzet qui nous a affirmé qu’il y avait toujours un proche de l’école (un « ancien ») ou un enseignant prêt à parrainer ce type d’élève. Parions qu’à Buzet, il y a peu de familles qui ont de réelles difficultés sociales. On aimerait que les enfants, surtout ceux confrontés à l’échec et au décrochage scolaire, ouissent se retrouver dans un lieu similaire qui mise sur le plaisir d’apprendre plutôt que la pression de la performance. Un rêve… »

Je ne me souviens pas avoir jamais parlé avec qui que ce soit du Ligueur pour répondre à la moindre question. Il est vrai que si l’on pose la question à « l’école de Buzet », elle risque de ne rien répondre…

Je regrette vraiment le manque de déontologie dont fait preuve cette personne. Sur la quarantaine d’articles, les six ouvrages, les huit travaux universitaires qui traitent de ce qui se fait à la Maison des Enfants, jamais une mise en critique ne fut aussi maladroite!

Je vous invite, si le cœur vous en dit, à le faire savoir à la rédaction du Ligueur. En tout état de cause, les élèves vont le faire.

redaction@leligueur.be

JFM, Virginie Vicqueray, Caroline Priels et Laure-Hélène Hamende